Comment assurer ses appareils multimédias ?

Les appareils multimédias font aujourd’hui pleinement partie de notre quotidien : smartphone, tablette, montre connectée… Ils sont exposés à de nombreux risques au quotidien et c’est pourquoi il est fortement recommandé d’opter pour une assurance multimédia, comme auprès de Celside (https://fr.linkedin.com/company/celside-insurance), afin de bénéficier d’une couverture en cas d’oxydation, de vol ou de casse (en fonction des garanties).

Le champ d’action des assurances multimédias

Souscrire une assurance multimédia vous permet d’être couvert et de percevoir une indemnisation en fonction de votre contrat. On le sait les appareils tels que les smartphones sont coûteux et il est crucial de les assurer contre d’éventuels dégâts ou dommages.

Il est ici important de rappeler que ces assurances peuvent intervenir lors d’un incident qui se déroule à votre domicile ou à l’extérieur. Ainsi, si une assurance multirisque habitation peut couvrir vos appareils lors d’un dégât des eaux ou un incendie par exemple, votre assurance multimédia va pour sa part pouvoir être sollicitée en cas d’oxydation, de casse ou de vol. Dans ce dernier cas de figure, il est à noter que le vol peut être par effraction, à la tire, avec agression, par introduction clandestine ou encore à la sauvette. Il faut alors déposer plainte et déclarer le sinistre dans les 5 jours.

Les contrats d’assurance multimédias n’interviennent généralement pas lorsque les dommages sont seulement esthétiques (sans nuire au bon fonctionnement), si l’appareil est perdu ou si la faute est intentionnelle.

Les critères à prendre en compte pour choisir son assurance multimédia

L’offre d’assurance multimédia s’est aujourd’hui largement diversifiée. C’est pourquoi il est nécessaire de prendre le temps de comparer les offres afin de choisir la plus adaptée.

Pour ce faire, plusieurs critères sont à étudier, à savoir :

  • les appareils pris en charge par le contrat ;
  • les garanties, en matière de casse, de vol ou d’oxydation ;
  • la franchise, qui correspond à un montant qui reste à votre charge en cas de sinistre ;
  • les éventuels plafonds de remboursement ;
  • les exclusions dans les conditions générales, qui n’ouvrent pas le droit à une indemnisation ;
  • le nombre de sinistres par an ;
  • la vétusté, qui est un pourcentage appliqué par les assureurs correspondants à un montant mensuel déduit sur la valeur d’achat du bien.

Laisser un commentaire