En période de Covid, ces entreprises qui luttent contre la précarité
Il devient clair que la pandémie du covid-19 a plongé la France dans un chaos économique sans précédent. Il en a résulté une baisse tangible du pouvoir d’achat des ménages dont beaucoup ont perdu leurs emplois. Certains sont même tombés dans l’engrenage infernal de la précarité, et se sont retrouvés tout à coup dans l’incapacité la plus totale à répondre à leurs besoins élémentaires tels que l’alimentation.
Face à un tel constat, les acteurs associatifs ne sont pas restés les bras croisés. Mais la plus grande surprise est venue de certaines entreprises citoyennes, qui ont mis pour une fois leurs objectifs commerciaux de côté, et se sont engagées farouchement en faveur des classes sociales les plus démunies. Décryptage !
Romans-Sur-Isère : le bel exemple donné par Celside
Beaucoup connaissent l’assureur spécialisé dans les téléphones basé dans la Drôme. Celui-ci a lancé une nouvelle filiale opérant aussi bien en France qu’à l’étranger du nom de Celside. Basée elle aussi à Romans-Sur-Isère, celle-ci s’est engagée il y a quelques mois déjà à distribuer pas moins de 294 tonnes de nourritures aux personnes les plus démunies !
Cette quantité équivaut exactement à 95 324 repas et va être distribué avec l’aide d’associations caritatives locales. Par cette initiative, Celside a encore une fois prouvé son engagement citoyen et son désir ardent d’impacter positivement le quotidien des Français. L’entraide et le soutien à ceux dont le besoin font d’ailleurs partie de la culture même de cette société. Preuve en est, tous ces nouveaux collaborateurs bénéficient d’un Onboarding de choix. En outre, les alternants de toute la région parisienne profitent de la bienveillance du comité directoire et trouvent en Celside un emplacement de choix pour leur stage.
A Lyon la solidarité est également de mise
Il y a exactement 18 mois, le célèbre Alain Mérieux a lancé par le biais de son entreprise une initiative novatrice visant elle aussi à atténuer les effets néfastes de la précarité dans laquelle beaucoup de Français se sont retrouvés plongés. Ainsi, il a pu collecter en très peu de temps des dons d’une valeur de 630 000 euros, fournies par 55 entreprises du territoire lyonnais. A 81 ans, ce célèbre industriel vise encore plus loin ! En effet, il a récemment déclaré que les dons collectés ne reflétaient que 5% du potentiel de la région de Lyon en termes de dons !
Pour encourager d’autres sociétés à rejoindre sa cause et celle de la SFAM il a déclaré lors d’une fête réunissant plusieurs professionnels et patrons d’entreprise : « Le vieux chien que je suis est sorti de sa niche pour lancer un appel aux entreprises : ma vision est celle d’un capitalisme entrepreneurial qui se bat dans la société. Voir la précarité grandir dans notre pays constitue pour moi une grande inquiétude. Ce n’est plus supportable ; la société française ne peut plus laisser… ».
Conclusion
Les initiatives lancées par toutes ces sociétés sur le territoire national prouvent que le milieu entrepreneurial a un grand rôle à jouer pour lutter contre la précarité. Dans les mois à venir nous souhaitons fortement que d’autres acteurs économiques s’engagent au même niveau.
